Message de bienvenue

Bonjours et bienvenue sur notre blog. Il conciste a vous informez sur les nouveauté et les antécédants par rapport a un sujet qui peut vous faire prendre concience que la guerre est partout autour de nous. Qu'elle soit a grandeur mondiale ou seulement dans votre entourage. Faite attention a votre prochain! Merci et bonne visite.

mardi 23 novembre 2010

La Corée du Nord lance des obus sur une île sud-coréenne

La Corée du Nord lance des obus sur une île sud-coréenne



Regain de tension mardi entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. La première a tiré des dizaines d'obus sur une île de Corée du Sud, faisant deux morts et plusieurs blessés. Ces affrontements sont parmi les plus graves depuis la guerre de Corée (1950-1953). Selon un porte-parole du ministère de la Défense à Séoul, une unité d'artillerie nord-coréenne a déclenché des tirs de provocation à 14 h 34 (6 h 34, heure de Paris) et les troupes sud-coréennes ont immédiatement répliqué. L'armée sud-coréenne a procédé à 80 tirs de riposte, a indiqué le ministre de la Défense, Kim Tae-young. "L'armée de l'air et la marine menaient des exercices navals et le Nord semble avoir ouvert le feu pour s'y opposer", a indiqué un responsable militaire cité par YTN. L'armée sud-coréenne a donné l'ordre à ses avions de combat de survoler l'île, a ajouté YTN.
Dernier régime stalinien du monde, la Corée du Nord affirme au contraire n'avoir fait que répondre à des tirs du Sud. "L'ennemi sud-coréen, malgré nos avertissements répétés, a commis des provocations militaires en procédant à des tirs d'artillerie dans notre territoire maritime à côté de l'île de Yeonpyeong, à partir de 13 heures (5 heures à Paris)", a indiqué le commandement de l'armée nord-coréenne dans un communiqué diffusé par KCNA. L'armée nord-coréenne "continuera sans hésitation ses attaques militaires si l'ennemi sud-coréen ose envahir notre territoire ne serait-ce que de 0,001 millimètre", selon le communiqué. En mer occidentale (mer Jaune), "il n'existera que la frontière maritime établie par nous", ajoute le communiqué.
Inquiétudes de la communauté internationale
L'affrontement a eu lieu en mer Jaune, dans une zone disputée par les deux Corées et théâtre d'autres incidents par le passé, en 1999, en 2002 et en novembre 2009. L'île est située juste au sud de la ligne frontalière décrétée par les Nations unies après la guerre de Corée, mais elle se situe au nord de la ligne de partage revendiquée par Pyongyang.
Ces tirs interviennent alors que l'existence d'un programme d'enrichissement d'uranium en Corée du Nord a été révélée par un scientifique américain, accroissant la tension et l'inquiétude des États-Unis et de leurs alliés. La Chine a fait part de sa "préoccupation" et a jugé "impératif" de relancer le processus de négociations à six sur le programme nucléaire nord-coréen. Moscou a mis en garde contre une "escalade". Le Premier ministre japonais Naoto Kan a demandé pour sa part à ses ministres de se préparer à "toute éventualité".
Séoul veut éviter l'escalade
La présidence, à l'issue d'une réunion d'urgence, a promis dans un communiqué des "représailles" en cas de nouvelles provocations du Nord. "Notre armée ripostera fermement à toute nouvelle provocation." "Le bombardement de Yeonpyeong par la Corée du Nord constitue une provocation militaire manifeste. De plus, ce bombardement d'objectifs civils est impardonnable", ajoute la présidence, appelant les autorités nord-coréennes à "prendre leurs responsabilités".
"Au moins dix maisons ont brûlé. On nous a donné l'ordre par haut-parleurs de quitter nos maisons", a déclaré Lee Jong-sik, un habitant de l'île. Des images de télévision ont montré des colonnes de fumée montant de l'île. "J'étais chez moi ; soudain, j'ai entendu un énorme bruit dehors. Quand je suis sorti, le village entier était en feu", a témoigné un autre habitant, cité par Yonhap. Des évacuations ont eu lieu, et l'armée et la police dénombrent les blessés, a précisé YTN.

jeudi 18 novembre 2010

Les conditions de vie en afghanistan





Voici une petite appercue de la température vécu en afghanistan. 55.9 degrée celcius. Cependant durant la nuit la température peut descendre environ a 5 degrée celcius. Ce n'étais pas la journée la plus chaude. A cette chaleur, on se promène toujour avec une boutille d'eau a la main. L'entretien des véhicules ce fais surtout le matin très tôt et en apès midi ces le repos. Pour ceux qui vont ce promener dans le territoire hostil.


Ceci est une instalation temporaire pour passer la nuit ou même des semaines







Bombes artisanales





Généralités


Un EEI est un engin positionné ou fabriqué de manière improvisée et incorporant des composants chimiques explosifs, incendiaires ou toxiques. Il est conçu pour détruire, handicaper, ralentir ou distraire. Il peut incorporer des éléments provenants d'arsenaux militaires (par exemple une grenade), mais le plus souvent il est composé d'un assemblage de pièces non militaires.


L'EEI consiste typiquement en une charge explosive, une charge d'amorçage, un détonateur et un système soit mécanique, soit électronique de mise à feu. Il existe de nombreux types d'engins explosifs improvisés, souvent assemblés à partir d'éléments hétéroclites.


La plupart du temps, les EEI sont de conception rudimentaire et n'explosent pas au moment voulu, ou pas du tout. Toutefois, certains groupes sont connus pour avoir produit des engins sophistiqués à partir de munitions militaires (souvent des obus d'artillerie) et d'éléments disponibles dans le commerce, tels que des téléphones mobiles. Le degré de sophistication dépend de l'ingéniosité du constructeur, des outils et matériaux disponibles.


Ce type d'EEI sophistiqué est principalement porteur d'explosifs brisants. Il existe cependant la menace que de tels engins soient combinés avec des éléments toxiques chimiques, biologiques, ou radioactifs (voir bombe radiologique) qui augmenteraient grandement leur puissance destructrice et leur effet psychologique.


Les EEI sont parfois camouflés en objets d'apparence innocente et aussi placés à bord de véhicules tels que voitures, camions et bateaux pour perpétrer attentats-suicides et assassinats.


Fonctionnement


Les principes de base du déclenchement d'un engin explosif improvisé sont l'un ou la combinaison des trois suivants :


Déclenchement piégé


L'engin explose par la manipulation, le contact ou la proximité d'un individu ou d'un véhicule. Un mécanisme caché fait exploser la charge ; plusieurs forces peuvent intervenir dans ce mécanisme de mise à feu, par exemple : tirer, pousser, relacher la pression, tendre. Certains engins piégés font aussi intervenir les forces électromagnétiques dans leur déclenchement (exemple : l'engin explose lorsque un objet métallique se trouve à proximité).


Déclenchement à retardement


L'engin explose après une durée déterminée fixée par une horloge mécanique ou électronique, voire une réaction chimique.


Déclenchement contrôlé


L'engin explose sous l'action d'un opérateur, celui-ci pouvant se trouver soit en contact direct avec l'engin (exemple : ceinture explosive), soit à distance. Dans le second cas l'engin est télécommandé le plus souvent par fil, radio (exemple : téléphone mobile), ou infrarouge.


Détection et désarmement d'un EEI




Un démineur de l'USMC se préparant à faire détoner un EEI enterré, à l'aide d'un robot de déminage.


Comme il s'agit d'engins non conventionnels, il n'existe aucune procédure précise pour les désamorcer, les démineurs préfèrent donc souvent les détruire lorsque ils ne se trouvent pas en zone urbaine peuplée. De plus, la présence d'éléments toxiques ou radioactifs requiert des précautions particulières.


Emploi dans les conflits


Afghanistan


En 2008, 3 276 bombes artisanales ont été découvertes, que ce soit avant ou non leur explosion, soit une hausse de 45% par rapport à 2007. Le nombre des militaires étrangers engagé dans la guerre d'Afghanistan tués par ces engins passant de 75 à 161. Il est estimé que 722 soldats ont été blessés par des EEI.


Irak


Une étude française[2] montre qu'en Irak, de mars 2003 à novembre 2006, sur 3 070 morts de la coalition militaire en Irak, 1 257 ont été causés par des EEI, soit 41 %. C’est-à-dire plus que dans les combats « classiques » (1027 tués, soit 34 %).


En 2006, on comptait 24 302 bombes artisanales contre 8 999 en 2008 [3].



Sources: http://fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/226627